Parcours politique . .Les premiers contacts avec la politique
Alain Ferrand s'est engagé en politique très tôt, à l'âge de 17 ans, pour soutenir alors sur sa terre natale, l'Aveyron, la candidature de Jean Puech, UDF. Ce dernier, qui s'installera successivement dans les fauteuils de maire de Rignac, de conseiller général, puis de président du conseil général de l'Aveyron, de sénateur, deviendra plus jeune parlementaire de France et sera même ministre de l'Agriculture de Jacques Chirac. C'est à ses côtés qu'Alain Ferrand découvre la fibre du militantisme en politique et s'active dans ce rôle de militant de base pour gravir une à une les marches des campagnes électorales.
Alain Ferrand, Maire du Barcarès
Le Rouergat devenu Catalan, dans les années 1980, en s'installant en Salanque et en épousant Joëlle, née Iglesias (l'actuelle maire du Barcarès), avec laquelle il a eu deux filles, peaufine son engagement politique en se présentant, à tout juste 30 ans, contre le maire socialiste du Barcarès de l'époque, Claude Got. C'était en 1989.
Puis, à nouveau, les deux hommes s'affrontent sur le même terrain électoral en 1995 et Alain Ferrand finit par l'emporter en prenant le dessus sur son fidèle rival . Alain Ferrand est élu maire de la commune de Port Barcarès.
Joëlle, à 36 ans, la révélation d'une nouvelle vocation
En 1999, la suite municipale, c'est son épouse Joëlle qui va donc l'écrire. Et qui continue d'ailleurs de l'écrire, plus de dix ans plus loin, en s'ancrant davantage encore dans le paysage politique départemental à chaque nouveau rendez-vous avec les électrices et les électeurs barcarésiens. A chaque tour de scrutin, c'est un succès enviable, avec des records de participation qui interpellent et font palir tous les observateurs, que Joëlle Ferrand récolte dans les urnes. A ses côtés, que ce soit pour les "municipales" ou les "cantonales" (comme en 2004), Alain Ferrand est toujours là.
Sa nouvelle ambition, un canton dynamique et prospère pour tous.
Présent. Passionnant et passionné. C'est cet Alain Ferrand qui revient aujourd'hui sur la scène publique (Qu'il n'a en fait jamais quitté), à l'occasion de cette élection cantonale partielle. Ce chef d'entreprise, créateur d'ambitions réelles pour l'intérêt collectif, dont les habitants du Roussillon âgés de moins de 25 ans connaîssent la boulimie, notamment dans les secteurs des loisirs et des sports, et dont les aînés du Barcarès savent apprécier les rencontres au quotidien sur le terrain pour améliorer sans cesse leur bien-être, veut ici et maintenant faire de la Salanque le territoire départemental de tous les défis économiques, sociaux et culturels. Pour cela, il sait qu'il doit entrer dans l'hémicycle du Conseil général.
Lui seul, parmi les candidats à cette "cantonale" sur Saint-Laurent, un oeil tourné au-delà des Pyrénées, vers Barcelone, et un pied amarré à la Méditerranée, toujours à la pointe de ce qui doit bouger, peut encore cultiver avec bonheur un art de vivre délicieusement provincial et singulièrement dynamique. Alain Ferrand est ce Méridional qui sommeille en chacun d'entre nous, et c'est pour cela qu'il nous ressemble.
A la tête de la commune-station du Barcarès, il a accompli un boulot que même ses plus farouches et fidèles opposants reconnaîssent. C'est devenu l'endroit le plus et le mieux animé du littoral roussillonnais, avec un budget en constante progression, avec des idées originales - comme la mise en place en hiver d'une patinoire "sur le sable"... au bord de la mer en tout cas ! - avec des vedettes (inter)nationales qui s'y bousculent au portillon, l'été venu, etc-etc.
Alain Ferrand, qui va jusqu'au bout de ses projets, n'hésite pas pour ce faire à s'exposer, contre vents et maréées, contre tramontane et médias. Et tant pis si, c'est vrai, il a une fâcheuse tendance à tirer la couverture à lui ; il avance, il progresse, il assure, il assume, il vit. Et il fait vivre, grandir, une commune, un territoire, qui n'ont plus honte aujourd'hui de s'affiocher en dépit d'un passé architectural peu reluisant.
Là où ses adversaires ont de la peine à survivre, tellement ils manquent d'idées, d'originalité, d'inventivité, de volonté et de courage (du courage !), lui, Alain Ferrand, impose pas une seule voie mais des chemins pour aller vers la Réussite. Il l'a maintes et maintes fois prouvé à la tête de ses diverses entreprises. S'il s'engage dans cette nouvelle "mission à risques", pour être élu conseiller général, c'est parce que les défis ont toujours constitué une sorte de raison d'être pour lui. C'est, en quelque sorte, sa force. Surtout lorsque ces défis sont motivés et s'appuient sur de vraies et solides convictions. Et c'est justement le cas. Son désir, unique et authentique : relancer ce moteur nommé "Salanque". Comme il l'a fait avec Le Barcarès. Avec le succès que l'on sait..
Source : alainferrand.com